La rue de la Meuse est une véritable rue résidentielle et les enfants jouent sur le trottoir. La rue est surpeuplée et utilisée comme raccourci pour les voitures. Toutefois, le trafic n'est pas trop important par rapport à d'autres raccourcis. La rue abrite un centre de quartier pour les jeunes et une maison de retraite. La micro-intervention est située sur le trottoir devant le centre de quartier des Libérateurs, où se trouve l'organisation à but non lucratif MOVE. MOVE gère des multiples activités pour les jeunes, organise des cours de soutien, des stages de vacances et d'autres ateliers. Le trottoir à l'entrée de la maison de quartier est un endroit où de nombreuses personnes passent et attendent. Avant la mise en place de la micro-intervention musicale, cet espace servait principalement de parking pour les motos et les scooters (électriques).
La micro-intervention s'inspire d'un xylophone à tubes. La structure instrumentale est une installation de tubes de différentes longueurs. L'instrument produit des sons différents en frappant une membrane placée sur l'ouverture supérieure de chaque tube. Cette structure est conçue de manière à pouvoir être installée sur une barrière métallique et démontée.
Rendre la ville plus inclusive pour les enfants est l'un des principaux objectifs de la FCFa, et la micro-intervention dans la rue de la Meuse a été conçue dans cette optique. Les passants et les participants d'Openstreets ont joué le jeu, qu'ils soient jeunes ou vieux. Le jeu est attrayant et accessible à tous.
Merci à tous les participants et tuteurs : Aline Eyckmans, Bieke Holemans, Catarina Breia Dias, Magnus Knutsen Bjørke, Pauline Vergara Van Hauwaert, Priyanka Oberoi, Thijs Vleeschouwer, Maria Makarenko, Emma Le Compte, Auranne Leray, Lara Maria Hartig, Hugh Roch Kelly (Tournevie), Charlotte Vandereycken, Jitse Massant, Bert Gellynck, Eef Boeckx, Diede Onzia, Stijn Baets, Alex Trotta, Quentin Materne, Lluis Martinez Ramirez, Colin Roustan, Yannick Roels, Etienne Pinsky, Marine Bistiaux, Cléo Hesse, Annekatrien Verdickt, Lotte Luykx